Le Red Bull Crashed Ice, un peu de chiffres
Avez-vous regardé le Red Bull Crashed Ice de Québec ce samedi soir ? Impressionnant, comme toujours !
Tout aussi impressionnants, ce sont les chiffres qui expliquent tout l’aspect technique. Je vous invite à aller constater l’ampleur de tout le matériel technique, dont 20 km de câbles électriques, ainsi que tout le travail qui est requis pour permettre à ces casse-cou sur deux lames de nous faire frémir ! C’est à voir sur le blog de Harold Guillemette. Merci pour toutes ces infos, M. Guillemette.
Pour ceux qui sont moins familiers avec ce sport qui a connu ses débuts en 2000, et qui est appelé en anglais « ice cross downhill », il s’agit « simplement » de dévaler en patins à glace le plus rapidement possible un parcours glacé. Cette année, à Québec, c’est une petite affaire de 540 m de longueur et dont le dénivellation totale est d’environ 80 m. Soyez avertis que votre vitesse pourrait atteindre 60 km/h sur ces deux lames de 2-3 mm de largeur… Les patineurs s’exécutent par vagues de quatre, jusqu’à une finale qui détermine le grand gagnant.
Prêts ? Partez !
Oups ! Déjà trop tard, le Finlandais Arttu Pihlainen, une vraie bombe sur les départs, a gagné la compétition de cette année ! En deuxième et troisième places, les Canadiens Louis-Philippe Dumoulin et Kyle Croxhall. Chez les dames, la victoire est aussi allée à la Finlande grâce à Salla Kyhala.
Très intéressant ton blogue et je te remercie de m’avoir cité c’est très apprécié!!!
Bonne continuation
Au plaisir
Harold
Wow! Je n’avais jamais entendu parler de cette discipline. C’est incroyable, l’être humain invente des sports de plus en plus « extrême ».
OUF! Toute une descente! J’en ai le vertige juste à lire ton texte. Je ne connaissais pas, ça doit être assez impressionnant à regarder. Je vais en parler à mon copain, lui qui raffole du hockey, ça lui fera une autre discipline à zieuter. 😉
J’ai deja vu ça à la télé, c’est assez impressionnant en effet !